You are currently viewing Quelle transformation veux-tu pour tes clients ?

Quelle transformation veux-tu pour tes clients ?

Tes clients achètent un résultat, une transformation.

Et plus cette transformation est énorme à leurs yeux, plus cela a de la valeur, et plus ils sont prêts à dépenser de l’argent pour cela.

Un client n’achète pas une pratique, un outil ou des heures avec toi.

Il achète l’objectif que tu vas lui permettre d’atteindre, le résultat qui va lui permettre d’avoir une meilleure vie.

Et c’est ça qui a de la valeur, c’est ça qui se paie. Pas le nombre d’heures que tu mettras dans ton offre.

Toi, en tant que client, préfères-tu passer des heures et des mois dans le cabinet de ton thérapeute, à tourner en boucle dans tes problèmes sans en trouver l’issue ? Ou préfères-tu un accompagnant qui va réussir en quelques séances à te libérer de ce qui te pourrit la vie depuis tant d’années ?

Préfères-tu acheter une vraie valeur ou des heures interminables avec un coach qui caresse ton ego et te brosse dans le sens du poil ?

Penses-y quand tu crées tes propres offres !

La vraie question à te poser n’est pas « combien d’heures je vends » mais « quelle transformation est-ce que je permets à mes clients ? ».

Ou si tu vends des produits : « comment ce produit et mon service vont-ils changer la vie de mes clients ? ».

La transformation que je permets à mes clients est celle-ci : je les aide à prendre leur place et à accomplir ce pour quoi ils sont sur terre en les libérant de leurs zones d’ombres et de leurs conditionnements. Je leur permets de voir leurs talents et leurs élans profonds pour qu’ils arrêtent de croire qu’ils sont des petites choses.

Qu’est-ce qui me permet de faire ça ? C’est un travail que j’ai moi-même réalisé. J’ai juste un peu d’avance sur eux …

Et puis c’est mon plus grand talent de leur ouvrir les yeux et de leur faire voir clair à leur propos. Je leur permets de reprendre le pouvoir sur leur vie et d’exprimer leur toute puissance.

Voilà la transformation que je veux et que je permets à mes clients.

Et plus je pratique, plus mes perceptions s’affinent et sont puissantes. Et plus de poursuis mon propre travail personnel, plus je me rapproche de mon essence pure, plus la transformation est grande pour mes clients.

Revenons à toi et à tes offres.

Bien entendu, il ne s’agit pas de vendre du faux.

La valeur et la pérennité de ce que tu vends résident dans la qualité de ta prestation et dans tes compétences réelles.

Il te faut être honnête avec ton niveau de compétences et la transformation que tu permets, et en même temps de ne pas sous-estimer la valeur de ce que tu vends.

C’est sur cette base que tu vas déterminer ta promesse et ton prix de vente. Nous pourrions élargir cette réflexion, parler aussi de ton rapport à l’argent et de la connaissance fine de tes clients. Mais ce n’est pas l’objet de cet article.

Dis-moi maintenant, quelle transformation veux-tu et peux-tu pour tes clients ?

Celle que TU VEUX, elle ne viendra pas de ta tête, mais de ton cœur.

Pourquoi ?

Parce que cela correspond à la contribution que ton âme souhaite apporter au monde.

Cette transformation que tu veux pour tes clients, tu dois aller la chercher dans tes tripes. Cela est en lien avec ton GRAND POURQUOI.

Et aujourd’hui, es-tu au clair avec la transformation TU PERMETS ?

Sache qu’une partie de toi permet déjà cette transformation, grâce aux compétences et aux talents que tu possèdes déjà.

Et il y a une autre partie de tes talents que tu vas devoir aller chercher ou apprendre pour être dans la plus grande transformation possible pour tes clients.

Tes élans profonds, ton grand pourquoi, tes talents (innés, acquis et à acquérir), la construction de tes offres pour les clients qui te correspondent, la transformation que tu vas leur permettre, c’est tout cela que l’on va faire émerger ensemble et concrétiser dans mon accompagnement ALCOVE.

Je te propose un échange gratuit pour en parler.

Je n’ai qu’une envie pour toi : que tu prennes ta place entière et que tu accomplisses tes véritables projets  !

Avec joie,

Cécile